De nouveau au travail [Pv.: Ryu]

Dans la petite ville de Game cité, le calme régnait dans les rues encore couvertes de l’ombre de la nuit. Les ruelles étaient paisibles et bien calme en cette heure si matinale. Peu de gens avaient réalisé que un autre jour venait de se lever. L’air plutôt froide de la nuit devenait de plus en plus chaud signe qu’une belle journée se préparait. Cela ne tardit pas qu’une lueur de l’astre lumineux traversa les fenêtres des petites boutiques des environ. L’auberge était calme et, grâce au mur de couleur pâle mais vive, un sentiment de chaleur régnait. L’heure était bientôt venue d’ouvrir à nouveau les portes comme à chaque jour depuis plusieurs années. Il s’agissait de l’auberge Le Lion D’or qui possède une très bonne réputation pour ses nombreuses années de bon service pour des prix respectable.

Dans la noirceur du sous-sol, une jeune femme dormait confortablement. Malheureusement, son sommeil fut interrompu par la douce lumière du jour qui vint la taquiner sur son doux visage. La jeune demoiselle ouvrit délicatement les yeux. Sa vue était légèrement floue, car elle portait encore le voile de la nuit sur ces grand yeux bleu avec des teints de mauve. Elle sortit les bras de sous les draps pour pouvoir les étirer à leur pleine longueur avant de se frotter les yeux d’un geste assez dure.

* Bon, le travail nous attend… J’aurais bien aimée dormir encore, mais c’est à mon tour d’ouvrir l’auberge. *Soupire* J’ai bien hâte de pouvoir être libre moi…*

Cassi déplaça ses draps pour les mettrent dans un coin et se leva d’un bon. Elle s’approcha de la fenêtre cacher par un petit voile et d’un geste rapide dégagea la fenêtre du petit drap qu’elle place chaque soir. Après la vue du jour, elle se réveilla enfin et son doux et chaleureux sourire vint s’installer pour un bon moment. Cassiopée se changea pour s’habiller avec son uniforme pour le travail et prit le petit bandeau pour se l’installer devant la glace. Ensuite, elle prit ses rubans bleus et fit deux lulus dans ses cheveux qu’elle attacha avec ses petits rubans. Avant de monter pour ouvrir les portes, elle se regarda une dernière fois pour vérifier si tout était en place. La demoiselle fit un demi-tour et prit son sac avant de quitter sa petite chambre située dans le sous-sol de l’auberge. Elle devait, comme à chaque jour, traverser la salle de lingerie et d’aliment avant de gagner les escaliers qui montait à l’étage supérieur. La jeune demoiselle trouvait l’odeur agréable lorsqu’elle sortait de sa chambre. Cette douce odeur de frais des linges propres et de la nourriture lui donnait toujours cette envie de rester plus longtemps pour inhaler ce parfum, mais elle ne le pouvait guère. Si elle continuait ainsi, Cassi allait être en retard pour l’ouverture de l’auberge. La jeune dame sortit du sous-sol et arriva à côté du bureau pour les réservations pour les voyageurs voulant dormir confortablement dans ce lieu magnifique. Cassiopée se dirigea vers le bureau et pris la clé cachée dans le meuble pour débarrer la porte d’entrée. Quand elle se rendit, la demoiselle remarqua qu’il y avait déjà quelqu’un qui attendait devant la porte.

* Ah! Zut… J’espère qu’il n’est pas là depuis bien longtemps… Aussi non, je vais me faire réprimander par mon oncle…*

LA demoiselle déverrouilla la porte et ouvrit à l’homme qui était dehors. Elle fit un beau sourire avec un petit air de malaise et lui dit :

- Bien le bonjour Monsieur! Je vous pris de m’excuser de mon retard.

Ryu passa sa soirée à jouer les êtres chevaleresques. D’un côté il fallait si attendre de quelqu’un dans son genre, non seulement car il est chevalier à temps plein, mais surtout qu’il est d’une nature voulant aider les autres du mieux qu’il peut. Après avoir passer une très bonne soirée en compagnie d’une amie qu’il venait de se faire. Il décida finalement d’aller se reposer dans un hôtel. Le repos était une chose très importante surtout pour quelqu’un qui voyage beaucoup avec la même idée en tête. Le plus étrange restait que normalement certain événement devrait le perturber fortement comme le fait que Nuriko soit morte. Quel mort horriblement troublante, oui cela l’avait troubler un bon moment. En tout cas il avait beaucoup réfléchit sur cela, il c’était surtout demander ce que sa belle souhaiterait de lui. Il se disait qu’elle voudrait qu’il ne soit pas triste et qu’il tourne la page, mais bien sure qu’il ne l’oublie pas. A vrai dire il comptait bien rendre visite à l’endroit de la mort de cette dernière pour rendre hommage à sa manière. D’un côté il se devait de faire un petit quelques choses pour elle.

Bref revenons à notre petit dragon préféré, le soir après un repas des plus délicieux, il partit en quête d’un lieu de repos. Sur le chemin, il se souvînt d’un hôtel ou il avait déjà vécu pas mal de chose là-bas. Comme une nuit des plus rudes en très belle compagnie qui finisse très mal à l’époque. Oui à cette époque, la ville ne porte pas le même nom qu’actuellement et en plus il eut une arrivée horrible dans l’hôtel. C’était l’arrivée du grand mage chaotique. Enfin bref cela restait qu’un simple mauvais souvenir. Quand il arriva devant l’hôtel qui avait une grande taille, dont devant la porte des lettres lumineuses avec le nom de l’établissement. Le chevalier entra dans le bâtiment ou il demanda une chambre. On lui donna une chambre qu’il paya d’avance, puis il prit les clés de la chambre qu’on lui donna et se dirigea sur place. Une fois en haut, il ouvrit la porte, déposa dans un coin ses affaires et alla sous la douche. Le shinigami prit donc une bonne douche qui dura quelques instants, après cela, il se mit dans une tenue légère avant d’aller se coucher pour faire de magnifique rêve.

Pendant son sommeil, cela fut très mouvementé, oui en effet il rêva de chose troublante et inquiétante. Il voyait des choses bizarres, tel que le fait qu’il y ait un lieu dans ce monde très dangereux, plus dangereux que Emirez lui-même. Il voyait des gens entrer dans ce lieu, se faire attaquer part des monstres monstrueusement horribles. Puis il put voir à la tête de c’est monstre qui sortait de ce lieu une jeune femme. En regardant de plus près, il voyait cette jeune femme, une femme qui avait le visage cacher, mais qu’il avait l’impression de connaître. Le pire restait que dans son rêve, il voyait l’univers powa à feu et à sang ou du moins comme en guerre. D’un coup il se réveilla en sursaut, une fois réveiller, il se mit assit sur le lit et regarda l’heur. Il vit qu’il était assez tôt dans la matinée, si tôt qu’il faisait encore nuit. Malheureusement, il ne trouvait plus la force de dormir, donc il se leva tranquillement, alla dans la salle de bain et s’arrosa le visage à l’aide du robinet avant de ce ré habiller pour filler hors de la chambre d’hôtel. Il descendit à l’accueille pour rendre les clés et s’en aller ailleurs. Il partit dans les rues de la ville à la recherche d’un restaurant ou d’un endroit pour pouvoir déjeuner tranquillement. Jusqu’au moment ou il se trouva devant une porte d’un établissement qui n'allait pas tarder à ouvrire. Il décida donc d’attendre sagement que cela ouvre pour entrer et aller manger un morceau. Quand il vit la porte s’ouvrire devant lui, il put voir une jeune demoiselle lui ouvrire en affichant un sourire des plus radieux. Suivit de parole polie et d’excuse pour avoir ouvert un peu tardivement surtout que le dragon n’avait pas remarquer cela. L’empereur de son peuple lui se mit également à sourire en faisant face à la jeune femme. De plus son regard tendre fixer le jeune regard de la douce jeune femme présente devant lui. Il ne put s’empêcher que d’accompagner son sourire de parole calme, mais douce.

« Bonjours mademoiselle ! Ce n’est rien. »

La tenue de l’humanoïde était très simple, c’était un bête kimono de couleur bleue et rouge ou se trouvait dans le dos un dragon de couleur jaune. De plus il était possible de voir qu’un niveau de sa ceinture il avait un fourreau et une arme qui devait être un katana. En entrent doucement dans l’établissement après s’être essuyer les pieds sur le tapis. Il attendit tranquillement à l’intérieur comme-ci on s’occupe de lui. A vrai dire il commença part observer la zone très tranquillement. Finalement il décida après un rapide regard dans la salle par reprendre la parole avant de se taire et de se diriger vers ce qui était le bar.

« Dites mademoiselle ? Qu’est-ce que vous offrez généralement à client du matin comme repas ? »

Cassiopée se tassa pour laisser place à l’homme de rentrer. Elle ne le connaissait pas réellement, mais elle avait souvent vu passer dans les environ depuis qu’elle était toute jeune. Par contre, si ça mémoire ne la trompe pas, Cassi avait l’impression qu’il n’avait jamais vieillis comparativement à elle qui est devenu une jeune femme avec les année parfois calme et parfois rude. Cet homme était grand avec des cheveux bleu comme elle, mais pas du même ton. Ses cheveux hérissés lui allait très bien et lui donnait un air original. Son armure lui montrait sa force ce qui faisait un peu envier la jeune dame qui devait tout faire pour essayer de manger un petit quelque chose avant de dormir et pour avoir un toit au dessus de sa tête. La femme s’inclina lorsque le client fut arrivé et lui dit :

- Bienvenue au Lion d’or! Le plus reconnu des auberges dans la ville.

Puis, elle se releva avec un beau sourire. L’homme alla s’asssire au bar qui était à la gauche du bureau. Il s’agissait d’une salle plus intime pour les repas. Il y avait des tables un peu partout avec des chaises. Il y en avait qui était proche d’une fenêtre pour voir le magnifique vu de la ruelle dehors. La demoiselle se rendit en face de lui et était toujours un peu dans sa bulle. Son réveille n’Était pas toute a fait complet et commença à pensée à ce qu’elle doit faire :

* Bon… Il faut que je lave la chambre trois quand le client va partir. Comme je le connais si bien, il va encore toute mettre sans dessus dessous… En plus, avec le maigre pour boire qu’il donne, je n’irai pas très loin avec cela… Vais devoir encore attendre pour m’acheter de nouveau soulier…*

Puis, l’homme lui parla. Elle avait complètement oubliée de lui offrir à manger et lui donner le mener comme elle se doit de faire. Cassi fit une autre révérence et lui dit :

- Miles excuses, j’ai oublié de mentionner que nous sommes une auberge qui inclut un petit restaurant. Nous pouvons offrir une variété de repas pour nos clients...

La jeune femme prit un menu dans le meuble du bar et lui offrir d’une main accueillante et continua sa parole :

- … Voici le menu et lorsque votre choix sera fait, faites moi signe…

Elle allait partir quand elle se rappela qu’elle avait oublié de mentionner encore un petit quelque chose.

- Si vous avez besoin de moi, je me nomme Cassiopée.

La jeune Cassiopée fit un petit sourire et alla se rendre dans le coin de la cuisine. La demoiselle alluma tout ce qu’il y avait tels que les lumière et les fours. Pendant qu’elle préparait tout cela, elle prit deux tranches de pain blanc et les déposa sur la plaque pour pouvoir se nourrir elle-même. Il ne fallait pas oublié qu’elle n’avait pas encore pris son petit-déjeuner. Le client pouvait la voir par une fenêtre sans vitre rectangulaire, mais seulement le visage. Son visage exprimait, en ce magnifique matin, un visage rempli de vie, mais qu’on pouvait remarquer qu’elle venait tout juste de se réveiller.

Plus il restait dans cet endroit et plus certaine chose se faisait ressentire pour lui. Il ressentait tellement de chose différente qu’il commençait à être perturber. Il avait faim ce qui était des plus normal, vu qu’il venait de se lever et qu’il n’avait pas encore manger. De plus il avait ce sentiment étrange et inconnu au fond de lui qui l’inquiétait, s’en doute à cause du rêve qu’il avait fait cette nuit. Si on ajoute aussi le fait qu’il avait un sentiment d’une envie de tuer, cela n’arranger pas du tous les choses. Oui il avait envie de tuer et cela depuis le moment même ou il rencontra cette belle jeune femme. Par chance, il se contrôlait très bien, donc il n’y aurait pas de soucie à première vue. Avec ce sentiment de meurtre, il pouvait dire avec certitude que la demoiselle qui lui avait ouvert la porte était une simple humaine. Bref de toute manière il en ne ferait rien du tout.

Pour revenir à notre petit dragon, il finit par se déplacer vers le bar. D’ailleurs arrivée au bar, il prit place sur l’un des sièges en garde son arme sur lui. Quand il remarqua qu’il l’avait encore sur lui, il fit un petit sourire gêner, gêner de ne pas avoir laisser son fidèle zampakutô en dehors de l’établissement ou du moins devant l’entrer. Avant même qu’il se relève pour le retire, la jeune femme se mit à lui parler. Il entendit la belle s’excuser, puis il la vit lui apporter la carte du menu de cette auberge. Après il la vit s’en aller derrière, enfin dans la cuisine après qu’elle lui est donner son magnifique prénom. Ryu sur le coup afficha un sourire plein de gentillesse. Il trouva ce prénom pas très courant, mais tout de même magnifique, faut croire que cela s’attacher bien à la personne. Finalement pour équilibrer les choses, il se devait de donner le sien de prénom, mais avant cela. Il se leva de son siège assez haut, pour aller devant l’entrer et retirer son arme avec son fourreau pour le déposer près de la porte. Il en n'avait nul besoin pour le moment, puis il revient à sa place tranquillement. Une fois bien installer, il ouvrit la carte du menu et jeta un œil sur ce qu’on lui proposait dessus.

Le jeune chevalier qui avait laisser son armure très loin de lui, mais qui pouvait la faire revenir comme bon lui semble finit de lire tout le menu. Son choix serait très dur pour se décider de ce qu’il prendrait comme repas. Faut dire qu’il avait du mal à se décider pour ce genre de chose. Finalement il se dit qu’il allait prendre la spécialité de l’auberge. Est oui normalement chaque établissement à une spécialité même si cela ressemble parfois à d’autre établissement. Enfin bref, une fois son choix fait, il prit la décision de déranger un peu la cuisinière. D’une voix assez calme et douce pour ne pas lui faire peur, il se mit à parler tout en la fixant avec ses yeux de couleur bleu ciel.

« Mademoiselle Cassiopée ! J’aurais une petite question à vous posez. Je suppose que votre établissement à un plat du jour ou une spécialité quelconque. Mon choix serait porter sur votre spécialité enfin si vous en avez une ici. »

Le shinigami ne lui avait pas encore donner son prénom, quel manque de politesse, bon certes ce n’était pas trop grave et il pouvait encore le faire-part la suite. En tout cas il y avait des chances que cela passe pour une forme de drague ce qui pouvait être un peu normale vue qu’il était face à une femme des plus magnifique physiquement. Mais dans le cas du petit dragon cela passerait pour une question de politesse et de gentillesse. De toute manière la chose la plus dure serait de bêtement pouvoir le garder, car son cœur s’ouvre avec une immense facilité, mais se préserve difficilement.

Cassiopée se lava avec un bon savon toutes les surfaces de sa douce peau qui s’étendait sur ses mains. Elle ne voulait en aucun cas donner une maladie à un de ses clients. De plus, elle serait plutôt ruinée et son oncle ne serait guère bien content d’elle. La petite femme ferma l’eau en serrant sur le rebord du lavabo le savon, se dirigea vers le four non loin d’elle et alla tourner, avec un bon geste du poignet sur sa spatule, les tranches de pain qui grillait pour son petit-déjeuner. Cassi regarda de temps en temps l’homme qui figurait dans la salle et sans qu’il le sache, elle était en train de faire une fiche à propos de l’homme. Elle avait développée sa capacité à retenir plein de chose pendant sa petite jeunesse triste et fade. Par contre, la fiche du client n’était pas encore complète. Elle lui manquait des données importantes tels que son nom et sa classe. Cassiopée n’allait pas le forcer pour qu’il lui dise, mais elle serait toute ouïe à ses paroles pour ne rien manquer. Grâce à sa bonne mémoire, elle se souvient très bien des gens qui sont gentil et généreux de ceux qui sont voleur et pas très donneur. L’homme savait lever entre temps pour aller déposer son arme. Cela ne la dérangeait pas qu’il garde son arme avec lui. À vrai dire, elle était plutôt habituée avec les soldats qui viennent de temps en temps. La femme enleva ses tranches de pains grillées du feu pour ne pas les faire brûler et les déposa sur une petite assiette. Cassiopée allait les manger lorsqu’elle aurait le temps pour. Puis, l’homme lui adressa la parole et elle regarda avec un doux sourire et comme par politesses, elle sortie du côté de la cuisine pour rejoindre le client de plus prêt et lui dit :

- L’auberge possède une spécialité plutôt banale et comme vous êtes mon seul client et que vous êtes le premier, je vais vous faire ma spécialité. Cela ne sera pas bien long, mais avant toute chose, désirez-vous quelques choses à boire?

La gentille demoiselle, en attendant la réponse de l’homme, alla chercher dans un tiroir du meuble principal du coin de la restauration des ustensiles et dans un autre tiroir un napperon pour son client. Elle apporta les objets avec un beau sourire et le déposa avec délicatesse face à l’homme qui était sur le comptoir.

Le petit dragon attendait toujours une réponse de la jeune femme qui s’occuper de lui pour le moment. Il avait fait et il avait déjà fait son choix sur un plat qui lui était inconnu pour l’instant. Cela gardait du suspense et beaucoup de mystère jusqu’au moment de la dégustation. Donc que faire à part attendre des paroles et être servit ? Bah ! Rien du tout justement. Notre petit chevalier eut par chance rapidement une réponse, enfin quand elle s’approcha de lui pour déposer sur la table du bar un objet qu’il ne prêta d’ailleurs aucune réelle attention, vu que son regard était comme entrain de dévorer la serveuse. Finalement un miracle surgisse, oui il eut enfin une réponse. Du moins on lui répondit enfin, il écouta donc du début à la fin avec une grande attention ce qu’on lui dit. Puis après cela, il se mit à réfléchire sur la décision qu’il devait prendre, sur le fait de boire quoi ? Quelques secondes lui suffisaient pour prendre un choix, donc ton d’un montrant toujours une gentillesse sincère et profonde, d’un regard tendre et d’une douceur hors du commun, il finit part lui dire ceci :

« De l’eau me serait amplement suffisante. »

Vous devez-s’en doute vous posez une petite question, sur le pourquoi balancer un regard de la sorte en continue ? Cela s’explique en plusieurs mots. Pour commencer, il faut dire que Ryu depuis très longtemps avait envier les humains purs. De plus si on ajoute le fait que depuis peu, il à fait une promesse qu’il ne supporte guère. En claire, il a une certaine admiration pour eux. Après si on parle des filles, comme quoi il a vraiment un faible pour c’est dernière. Normal le fait qu’il a un faible, cela pouvait être du au fait qu’en étant un animal, il à des envies de reproduction terrible, mais avec son boulot de chevalier il est généralement au petit soin pour eux afin de ce faire remarquer part-elles. Après que se soit de l’amour ou pas ? Bah ! C’était un peu tôt pour dire de telle chose, mais qui sait ? Bref, après avoir fixait fortement la jeune demoiselle d’une telle manière, il prit la parole une fois de plus et de la même manière qu’avant pour dire simplement ceci :

« Ho ! Veuillez m’excuser pour mon manque de politesse. J’ai oublié de me présenter à vous. Je me prénomme Ryu le dragon chevalier au pouvoir de shinigami à votre service. »

A peine qu’il finit de parler, qu’il afficha un sourire des plus magnifiques. Il voulait faire bonne impression, mais avec le temps cela n’aurait pas le même impacte que s’il l’aurait fait dès le début de son entrer dans le bâtiment. Pour reparler de son regard qui essaie limite d’attirer Cassiopée, serait plus le regard de quelqu’un qui à un faible pour une fille, dans le sens qu’il la trouve très belle et vraiment attirante. Bon après aller savoir ce qu’il ressentait vraiment. Pour le moment, il n’avait plus rien à dire et donc il attendait que cela se passe. Le plus étrange est le fait qu’il semble avoir oublié certaine personne pour d’autre depuis un petit moment. Enfin bref qu’aller-t-il se passer ?

Cassiopée écouta sa demande et allait faire son plaisir toute suite. Elle se rendit à un coin du comptoir et pris un grand verre fait de verre et le déposa sur le meuble. Ensuite, Cassi se rendit à un récipient d’eau frais et froid et le prit pour en verser dans le grand verre de monsieur. L’homme la regardait et elle le savait. Cela ne la dérangeait pas. Tant d’homme passait par ici et la regardait comme l’homme présentement. Son corps était envié par nombreuses femmes et les hommes étaient fort heureux de la voir. Il y en avait même des habituer qui venait prendre leur dîner pour l’admirer. Malheureusement, le regard du client exprimait quelque chose que la jeune femme ne voyait pas. Elle ne connaissait pas ce regard qui est celui d’un homme charmer peut-être même amoureux. Puis, avant de se rendre dans la cuisine pour faire le repas de monsieur, il lui donna son nom et Cassiopée en profita pour l’introduire dans sa bonne mémoire. La serveuse se mit face à l’homme et fit une salutation avant de lui répondre :

- Ravis de vous connaître Monsieur Ryu. Je vais vous préparer votre repas et cela ne sera pas très long. Si vous avez une quelconque demande, faites moi signe.

Puis, Cassi se retourna et rentra dans la cuisine. Elle avait prévu un bon gros repas de chef. Elle commença à préparer les ingrédients pour faire des crêpes. Elle les sortie rapidement et plusieurs à la fois. Elle connaissait très bien la recette à suivre pour cela. Elle agissait d’un geste rapide et précis. On pouvait remarquer qu’il n’y avait aucun dégât causer par un ingrédient quelconque. Puis, lorsque les crêpes étaient prêtes à cuire. La jeune femme sortit des fruits du congélateur tels que framboises, bleuets et fraises. Elle les fit réchauffer un peux dans un contenant qui était placer dans de l’eau bouillante qu’elle avait placer cela auparavant. Entre temps, elle fit tourner la crêpe pour pas qu’elle brûle et sortit des morceaux de patates coupés en dé, du lardon, des saucisses et une tranche de jambon. La demoiselle a enlevée du feu la crêpoe qui était bien doré et chaude pour le mettre dans une grande assiette et ensuite, mis les viandes et les patates sur le feu. Pendant que les morceaux cuisait avec un drôle de petits sons, Cassiopée prit les fruits décongeler et les déposa dans la crêpe. Lorsque cela fut en place, elle bougea un peu les autres aliments et prit le coulis des fruits dans la chaudronne et le déversa délicatement dans la crêpe. Quand cela fut fait, elle l’enroula pour fait un beau tuyau et déposa une framboise, un bleuet et une fraise dessus. Quand elle fut fini de préparer la crêpe, ses viandes était bien cuite et prêt à servir. Elle prit les autres aliments et le déposa dans l’assiette. Puis, elle remarquit qu’elle avait oublier les tranches de pains avec, mais elle fut vite et les déposa sur le feu et monta un peu le feu pour que cela aille plus vite. Pour entendre le moment que ces tranches de pains soit grillé elle dit à son client avec un beau sourire.

- J’espère que vous avez une bonne faim.

Cassi n’avait aucunement eu le temps de penser au fait que l’homme n’était pas un homme comme tous les autres. Elle allait sûrement réfléchir à cela plus tard. Puis, le pain fut finalement prêt et elle les mit dans une petite assiette à part. Elle sortit de la cuisine avec une magnifique assiette pleine de bonnes choses à manger et qui sentait délicieusement bon. Elle le déposa face à son client et lui dit :

- Bonne appétit Monsieur Ryu!

Elle s’inclina et prit une serviette par la suite pour essuyer ses mains. Puis, elle réalisa que ses toasts seraient sûrement froids, mais cela ne la dérangeait plus vraiment. Elle était plutôt habituée à cela. Elle prit une de ses toasts et le rendit à sa bouche pour en prendre une croquée.

Le dragon fut rapidement content part le fait que sa commande de boisson fut vite remplit. Quand on lui apporta de quoi boire, il lâcha un sourire radieux en guise de remerciement profond. D’ailleurs, il ne quitta toujours pas cette fameuse personne du regard. Beaucoup de gens pouvaient se poser des questions. Comme est-il amoureux ? Ou avait-il seulement un besoin sexuel ? Aller savoir. Le seul en mesure de répondre serait Ryu lui-même. Puis quand elle parla, le chevalier écouta simplement et tranquillement les paroles de la jeune femme. Après cela, il fut comme envoûter pendant un bon moment. Il pouvait sentir avec son odorat l’odeur de la nourriture, mais plus principalement le repas qui l’attendait. Cela le faisait presque saliver, mais il était comme dans un autre monde au contact de cette odeur agréable. L’humanoïde était très sensible à ce genre de chose, surtout à la nourriture qui avec l’eau était l’une des choses les plus importantes. Quand on lui demanda une fois le repas quasiment près s’il avait faim. Il revient très rapidement sur terre, d’ailleurs, il ne put s’empêcher que de répondre aussitôt pour bien faire comprendre certaine chose. Il lui dit donc très gentiment en la fixant bien dans les yeux, mais là c’était plus le corps de la serveuse qu’il regardait.

« Ne vous inquiétez pas pour mon appétit. »

Finalement quelques instants après, on lui apporta une assiette bien remplit, quand on déposa devant lui cette magnifique chose. Son regard qui était placer de manière bien fixe sur la demoiselle passa rapidement sur le repas. Il pensait cas manger sur le moment, après peu il entendit un bon appétit de la part de la très belle serveuse. Sur le coup, part politesse, il monta son regard doucement, vers le visage de cette personne pour lui dire très calmement et avec gentillesse ceci :

« Merci ! A vous aussi ! Je tien à vous dire que votre repas à l’air très bon. »

A peine qu’il finit de parler, il descendit sa tête rapidement, attrapa avec vitesse son assiette afin de là maître assez proche de lui pour commencer à dévorer son repas. Rapidement, il était possible de le voir manger avec un appétit hors du commun. C’était comme-ci il gobait le tout à une vitesse pas humaine ou alors à la vitesse de quelqu'un de presser. D’ailleurs, il ne faisait pas que manger, il buvait un peu d’eau de temps en temps. Il prit quoi environ 5 petites minutes pour vider l’assiette très rapidement et son verre. Quand il avait fini de mangé, il leva la tête doucement, content de ce repas qu’il malgré la vitesse avait bien apprécier. Il lâcha un regard habituel, du moins un regard qui n’avait pas changer depuis le début tout comme son ton sonore pour dire ceci :

« C’était très bon, je vous en remercie de ce repas. »

Par contre, pendant le temps qu’il mange, il n’avait pas trop fait attention au fait et geste de la serveuse. D’ailleurs, il avait mit quelques instants avant de savoir ou exactement elle était situer. De plus quand il la trouva, son regard très spécial se pencha droit sur les yeux de cette demoiselle. Le plus étrange est que le shinigami aurait pu facilement faire en sorte que cette dame tombe sous son charme depuis très longtemps ou encore que ce repas finisse de manière peu courante pour une matinée, car cela aurait plus fait penser à une fin de journée. Bref, il aurait pu user de cette technique magique, mais non ce n’était pas du tout son genre de faire cela. Pour le moment, il attendait de voir ce que ferait et dirait la belle avant de faire quoique se soit d’autre. Bon il pourrait quitter l’auberge, mais cela ne le tenté pas trop de le faire maintenant autant discuter un peu non ?

Cassiopée regarda l’homme manger en même temps que celle-ci finit ses toasts qui était rendu tiède. Elle n’avait pas grand-chose à faire, car la cuisine était vide et les clients n’avaient donné aucun signe de vie encore. Le monde avait sûrement un sommeil très profond et lourd. De plus, la température le permettait. Cassi regarda par la fenêtre et remarquait que le beau temps de plus tôt n’était plus là. Il s’agissait plutôt d’une journée sombre et les nuages ne laissaient aucune éclairci à venir. Puis, la pluie tomba délicatement pour commencer et ensuite, très fort sur les rues de la vie. Elle pouvait voir que le monde partait rapidement pour ne pas se faire prendre par la pluie, mais sans ne crier garde, la pluie les avait attrapé.

Puis, la jeune femme finit son assiette et remarquait que son client avait fini en même temps que elle. Il avait trois fois plus de choses à manger qu’elle, mais il l’avait presque devancé. Cassiopée fut surprise, mais sa surprise donnait simplement un beau sourire à l’homme et s’approcha de lui et elle lui dit :

- Mon plaisir est que vous ayez aimer cela Monsieur Ryu.

La jeune serveuse prit son assiette et ses ustensiles et elle se retourna pour prendre la sienne. Ensuite, elle se rendit dans le coin cuisine pour déposer les assiettes dans l’eau chaude du lavabo. Elle comptait laver les morceaux plus tard, car elle avait un autre but dans sa tête. La femme revint avec son client et s’assit sur un petit tabouret qui se trouvait de son côté de meuble. Elle l’approcha de l’homme et, avec un geste rapide, elle fit bouillir le café pour se faire une tasse de café en ce matin pluvieux. La jeune Cassiopée ne s’assis pas directement en face de lui, mais plus en diagonal pour ne pas l’offusquer. Elle était désormais toute ouïe à parler avec lui. Depuis qu’il s’avait présenté, Cassi avait une question qui lui tournait dans la tête. Elle décida de lui demander finalement. D’un ton doux et délicat, elle lui dit :

- Je m’excuse pour mon intrusion Monsieur, mais je suis curieuse de savoir comment votre race vie dans la vrai vie. Je n’ai rarement croisé des dragons dans ma vie et comme je suis au service d’un homme, je ne peux pas réellement explorer comme vous pouvez le faire. J’aimerais savoir comment vous vivez en tant que dragon et de plus, si la vie à l’extérieur vous accepte bien?

La jeune demoiselle était complètement absorbée par l’être qui était en face d’elle. Jamais elle n’avait vu de dragon. De plus, elle ne savait pas que ceux-ci pouvaient se transformer en homme, c’est pour cela qu’elle n’avait pas remarqué sa race à son arrivé. Cassi avait l’impression que c’était un homme tout a fait normal, mais un petit quelque chose lui disait que non. Alors, elle attendit avec impatience les paroles de son client.

Le dragon observait depuis le début la jeune femme part simple fait qu’il admirait les humains pour pas mal de chose. En voyant la jeune femme approcher vers lui avec un magnifique sourire. Il lui renvoya directement, il était ainsi. Soudainement la douce voix féminine détruisit le silence qui régner dans cette pièce. Par contre, il ne fit rien de plus que de la regarder faire et de l’écoutait sagement. Il pouvait voir que la serveuse, prit doucement les assiettes pour les déposer ailleurs. Après en l’observant, il la voyait préparer du café pour finalement revenir près de lui, mais de l’autre côté du bar. Enfin elle était à côté certes, mais plus sur une diagonale. Soudainement et très étrangement, il entendit cette demoiselle lui poser une question vraiment spéciale. Une question qu’il n’aurait jamais cru entendre surtout de la part d’une humaine. Faut dire que depuis longtemps, les dragons et les humains ne faisaient pas bon ménage. Bref, il se devait de lui répondre pour la simple et bonne raison qu’elle l’avait remarquer et qu’elle n’avait pas peur de lui. Il était comme heureux d’entendre cela, donc très calmement et surtout d’une voix gentille tout en la fixant pour lui répondre ceci :

« Je suis surpris de savoir que cela vous intéresse, mais en même temps depuis que je suis dans ce monde j’ai pu voir toutes sortes de chose. Oui j’ai beaucoup voyager, mais dans mon monde, ma race n’était pas bien vue du tout et fut même en voix d’extinction, dans mon monde d’origine tout le monde avait peur de ma race qui n’est pas méchante, ni gentille, nous sommes justes des pacifistes. J’ai été élever comme un humain, le fait que j’aie une apparence humaine et faite que pour me cacher. »

Pendant qu’il parlait, il semblait comme un peu triste, part le fait de parler vaguement de son monde, son monde lui manquer, certes presque personne aimait les dragons et en n’avait pas peur. Enfin il avait beaucoup de souvenir, bon comme mauvais, mais au final y pensait le rendez un peu triste. Après une petite pause plutôt courte sur les bords. Il reprit la parole, mais d’un ton qui cette fois montrait qu’il était plus joyeux qu’avant. D’ailleurs depuis un moment, il ne l’avait pas lâcher du regard.

« Depuis que je suis dans ce monde, les gens me regardent différemment et ils non pas peur de moi. Enfin ici, c’est tout de même très dur comme vie. Car je ne travaille pas ici, je fais que voyager et je me paye rarement l’hôtel ou ce genre de chose. Mais le fait d’avoir participer à l’un des tournois d’arts martiaux de ce monde, ma fait un peu d’argent et de vivre un peu mieux. De toute manière, il ne faut pas croire, mais vivre dehors ne me dérange pas, mais le confort ne fait pas de mal. »

Il affichait un sourire radieux sur le coup, mais il ne garda pas longtemps se sourire, car il voulait encore un peu parler. Il marqua quoi un petit temps de pause de quelques secondes. Puis il reprit d’un ton plus rêveur, avec un regard expriment tant de chose différente. A croire qu’il était plus un humain que dragon part moment.

« Il ne faut pas croire que depuis mon arrivée ici, j’ai eu une vie heureuse, bien au contraire. Faut croire que peu importe le monde, la vie ne pas peut-être parfaite comme dans des rêves. Il me semble que vous êtes de ce monde, n’avait jamais eu cette envie de le visiter ? Voir ce que ce monde cache comme mystère ? De vivre un peu d’aventure ? »

Oui mine de rien, il a vécut longtemps avec des humains et il put en apprendre beaucoup sur eux. De plus il avait pu vivre comme eux. Une vie tranquille, une vie ou on l’accepte comme il est. Avoir une famille… enfin il y avait tant de chose qu’il voulait. Il trouvait aussi un peu bizarre qu’une personne vivant ce monde ne l’aie jamais visiter. Enfin tant de question qu’il se posait et très peu de réponse.

Cassiopée écouta avec attention l’homme qui était devant lui. À vrai dire, il s’agissait plus d’un animal, mais elle ne le voyait pas comme cela. Pour elle, il était un être vivant pouvant autant vivre que les hommes peuvent vivre. Elle trouvait cela plutôt discriminatoire faire un jugement de ce genre pour une race qui n’est pas la même que la sienne. Cassi fut un peu outrée par le fait que sa race était plutôt mal vue et surtout du fait qu’il était en train de s’éteindre. Elle trouvait une grande injustice envers les races étrangères. Elle désire avant tout l’égalité de chacun quoi qu’il en soit. Qu’il soit riche, pauvre, humain ou non humain, chacun à un droit et ces celui d’être libre.

Puis, Cassiopée se sentit un peu mal à l’aise quand elle vit la tristesse dans le regard de Monsieur Ryu. Elle ne voulait pas vraiment lui faire de peine, mais cela avait été imprévu et si rapide. Elle voulu s’excuser, mais l’homme reprit de bel ses paroles avec un air radieux plus que plus tôt. La jeune demoiselle restait les yeux fixés sur lui. Elle était fascinée par cet être ayant vécu temps de chose. La dame ne parla point durant les paroles de l’homme.

Soudainement, il lui posa des questions pertinentes que personne ne lui avait posées avant. Elle avait été souvent vue comme une fille qui n’irait pas très loin dans la vie. Cassiopée était comme les marchands sur le bord des rues. Quand on les voit, on les sourit et parfois on achète quelque chose d’eux, mais par la suite, ceux-ci les oublies comme s’il était un simple journal étant expiré. La jeune demoiselle prit une serviette et frotta le comptoir. Si son oncle arrivait, elle ne voulait pas se faire prendre à faire du social, mais elle comptait quand même discuter avec l’homme en même temps. Cassi lui répondit :

- J’ai compris depuis que j’ai grandit avec mon oncle que la vie n’est pas juste pour tous. Il y a des personnes qui possèdent la chance et le courage de voyager en gagnant un peu d’argent par ci par là comme vous le faites. Moi, ma place, comme j’ai souvent entendu parler, est d’être ici pour servir les hommes voyageant dans notre grand monde. Oui, je viens de cette planète, mais le goût de voyager… À vrai dire, j’y ai pensée souvent, mais quelque chose en moi m’empêche de voyager et de vivre une vie aventurière. Peut-être il s’agit d’affronter l’Inconnu… Je l’ignore, mais j’ai prit une routine depuis bien longtemps. Je crois bien que voyager ne sera pas pour moi.

Puis, elle se redressa la tête avec un sourire, mais qui exprimait un peu de peine. Elle ne pouvait pas être comme une minorité du peuple comme tout le monde rêve, mais plutôt comme la majorité qui voit leur rêve partir avec quelqu’un d’autre. Puis, elle retourna à regarder sa table avec un petit air moqueur comme si elle venait de réaliser ses sentiments.

- Je suis d’accord avec vous sur le fait que le monde ne regarde pas les autres avec un bon œil. J’ai souvent été victime de se genre de situation par le fait que j’étais pauvre, mais on s’en remets toujours un jours ou l’autre. Puis…

Soudainement, la porte de l’auberge s’ouvrit. Une dame vêtue d’une robe de satin plutôt étrange rentra dans l’immeuble. Elle possédait aussi un petit sac à main qui avait le même tissu que son vêtement plutôt affreux. La dame regardait dans l’entrée quelque chose, ou plutôt quelqu’un. Puis, elle rentra dans le coin de la restauration. Cassiopée avait reconnu la dame rapidement, il s’agissait de la bien-aimée de son oncle. Celle-ci lui avait fait énormément de tord à la pauvre Cassiopée, mais elle ne pouvait faire rien d’autre que de subir, car son oncle était envoûté par cette «sorcière». Kristal fit une belle salutation à l’homme en faisant un signe de révérence et rentra derrière le comptoir en lui disant :

- Bien le bonjour, j’espère que votre repas fut bon. Je dois vous excuser, mais j’ai quelques mots à dire à votre petite serveuse.

Puis, elle prit le bras de Cassi qui avait juste eu le temps de lâcher la serviette pour laver le comptoir qu’elle était rendue dans la cuisine. La dame lui parla de son mécontentement à propos de son geste d’hier.

- Cassiopée! Tu es une honte pour ton oncle. Tu as cassée une magnifique assiette en porcelaine faite à la main. Tu n’es pas digne de vivre avec aussi aisément. De plus, tu vas devoir payer cela ma chère. L’argent ne pousse pas dans les arbres et tu dois subir les conséquences de tes actes. Bon, maintenant retourne au travail. Tu as du ménage à faire et il y a plein de poussière dans l’entrée…

Durant la conversation, elle était très froide avec un ton plutôt furieux, mais elle parlait tout bas pour ne pas se faire entendre par le client qui se trouvait de l’autre côté. Puis, comme du jour au lendemain, elle sortit avec un beau et large sourire pour le client et fit une dernière salutation avant de partir. La jeune Cassiopée resta dans le coin cuisine. Elle était triste, mais elle ne pouvait rien y faire. Elle prit quelques minutes pour essayer de reprendre ses esprits.

Le dragon, toujours prit dans une conversation qui pourrait sembler sans fins. Il avait pas mal parler depuis quelques minutes, mais quand vient son tour de ne plus rien dire. Il fixa tranquillement en dévorant des yeux, les yeux de la serveuse. En plus il avait remarquer une chose pas mal du tout, le fait qu’elle ne l’avait pas quitter des yeux, mais bon cela restait normal. Quand elle prit la parole, il l’écouta du début à la fin. Il pouvait comprendre pas mal de chose, surtout plus la façon de penser que Cassiopée avait. Il la comprenait assez bien, car il le savait tout cela. Quand elle parla du fait que quelque chose l’empêcher de partir, il se demandait si ce n’était pas son oncle ou si cela n’avait pas un rapport avec sa famille ? Mais elle dit que c’était plus la peur de l’inconnue, mais qu’elle en n’était pas sur. Une fois qu’elle marqua un temps de pause, il l’observa gentiment. Il pouvait voir qu’elle sourit, mais ce n’était pas un sourire complètement heureux. Il connaissait bien se sourire, voilà la raison de pourquoi, simplement parce que lui il l’avait souvent ce sourire. Mais après pendant un court moment elle semblait absente, avant de reprendre la conversation de plus belle.

Ryu eut comme un flash dans sa tête, au moment ou elle parla cas un moment, elle était pauvre. Il se voyait dans le passer, quand il était très jeune. Il était très pauvre, si pauvre que se nourrir était dur et l’obliger à voler avec ses deux autres amis. Il se souvenait que son passer fut rude, entre la chasse, le vole, la traque etc.. Il n’eut pas beaucoup de bon temps, mais bon cela lui mit un coup de peine soudaine. Par contre, il était content part le fait que la serveuse connaisse sa aussi, tout comme lui. Soudainement il revient à lui, quand la porte de l’auberge s’ouvrir d’un coup. Revenant à lui, il tourna délicatement la tête pour voir qui c’était. Il vit une jeune femme très étrange part c’est vêtement, mais à la limite cela ne le déranger pas du tout. Il afficha un sourire, comme ce que la dame lui fit. Puis il la vit aller à côté de Cassiopée et là se fut une surprise. Il vit la femme inconnue attraper la demoiselle après c’être excuser pour l’emprunter. Il se doutait que sur le coup c’était la femme du gérant, donc la patronne de l’auberge. Malheureusement, le chevalier pouvait suivre la conversation très facile, grâce à son oui très développer. Il trouva que malgré les apparences, cette femme n’était pas gentille du tout. Bien au contraire, elle représentait comédienne, qui pouvait d’apparence gentille aux yeux de certain, mais méchant aux yeux de d’autre. Quand elle passa de nouveau, il la regarda, mais il n’afficha pas le moindre sourire, au contraire, il était comme vexer de voir et surtout d’entendre cela.

Ryu fut vraiment compatissant pour la jeune fille. D’ailleurs, il se demandait si elle allait bien. Ce qu’il fit, c’est de se lever là voir. A peine debout, enfin il se leva en silence et à une vitesse très grande. Il arriva derrière Cassiopée, de dos elle semblait calme et pas triste. Par contre, il se disait, qu’elle devait être bien triste, voir prête à pleurer qui sait. En tout cas en se basant sur le sons de battement du cœur, il pouvait plus ou moins dire ce qu’elle ressentait. Finalement, le jeune shinigami déposa doucement et délicatement sa main droite sur l’épaule droite de la serveuse. Puis gentiment il lui répondit, il prit la parole d’un ton calme et poser. Il lui dit donc ceci :

« Ca va aller ? Cette femme, n’est pas quelqu’un de sympathique, faire de la casse arrive à tout le monde. »

Il marqua un petit temps de pause, mais il comptait reprendre la parole avant de se taire et de voir la réaction de cette belle jeune femme triste. Il n’aime pas trop les gens tristes, surtout les jeunes filles. Puis avant de ne plus rien dire, il prit la parole de la même façon qu’il y a quelques instants pour lui dire ceci :

« Je pense que ce qui vous empêche de partir, doit être votre famille et non la peur de l’inconnu. Tu sais, tout le monde à le droit à son moment de bonheur comme de malheur. Quand j’étais petit, j’ai vécut beaucoup de chose terrible, j’ai été chasser, je n'avais rien pour me nourrir, donc je voler avec mes amis voleurs les riches pour nous nourrir, revêtire ou encore pour donner aux autres. Finalement mon malheur ses transformer en bonheur, car pendant ma fuite, j’ai pu me faire plein d’amis, j’ai même prit goût au voyage et à l’aventure. Sans ça, je ne serais probablement pas ici. »

La jeune fille avait sentit la présence de l’homme avant même qu’il fit signe qu’il étais la`. Le jeune homme lui parla et elle trouvait cela très intéressant et réconfortant aussi. Elle ne savait pas pourquoi, mais s’était la première fois qu’un client prenait le temps de venir la voir et s’intéresser à ce qu’elle avait. Alors, après qu’il parla, elle avait un beau sourire au visage. Elle décida de se retourner et Cassi était plutôt radieuse dans son habit de travail. La jeune femme était plutôt habitué de se faire traiter de toutes les façons par sa ‘’patronne’’. Elle se pencha la tête et lui dit :

- Je vais bien. Je suis plutôt habituée à vrai dire et de plus, merci pour vos paroles. Je dois vous avouer que vous êtes le seul que je connaisse, mise à part mon oncle, qui s’intéresse à ma vie de petite commerçante.

Puis, elle fit signe à Ryu de sortir et de retourner à son siège, car son oncle ne serait guère content qu’un client soit dans les lieux réservés aux employés. Puis, rendu au comptoir, elle décida de lui avouer une partie de sa vie qui a faite en sorte que voyager lui donnait des frissons même aujourd’hui.

- Je dois t’avouer que mon oncle n’est pas simplement la cause de ma crainte vers l’aventure. J’ai faite un seul voyage seul dans la vie. J’étais encore qu’une enfant dans ce temps. J’ai du voyager une longue distance à pied de ma maison jusqu’à l’auberge. Cela fut la dernière fois que j’ai vu mes parents aussi…

Cassiopée fit un beau sourire à son client. Elle avait légèrement de la peine de parler de cela, mais elle supportait très bien avec le temps. Cassi n’avait jamais dévoilé cela à personne d’autre même pas à son oncle à propos de son voyage. La jeune serveuse s’avait beaucoup renfermée après la mort de son père et de sa mère désirant oublier ce qui s’est passé. Alors à chaque fois que son oncle voulait s’informer sur le sujet, elle changeait toujours de sujet pour ne pas faire long sur ce qui s’était passé. Cassiopée se prit un verre et se versa un petit verre d’eau pendant son dialogue. Après avoir parlé, elle prit une pause pour prendre une gorgée d’eau et continua ensuite ce qu’elle disait.

- Mon village a été envahi par des êtres du mal à ce que j’ai entendu parler par mon oncle. Moi, je n’ai à peine eu conscience qui se passait quelque chose que ma mère ma fait passer par un tunnel caché dans la maison. J’ai due marcher longtemps avant de retrouver la surface et voir à ma sortie mon village recouvert d’un tapis de feu violant. Il n’y restait plus rien. J’ai été la seule survivante du village. Ensuite, je suis partie indifférente chez mon oncle, mais j’étais à un point exténué que je perdis connaissance pendant un long moment rendu chez lui. Par la suite, l’aventure me parait comme une montagne et il est bien mieux de rester chez soi que de risquer de tout perdre.

Voilà une réaction très intéressante, à peine qu’il la vit se retourner. Il avait envie de la prendre des ses bras, sans doute pour faire comprendre qu’en la serrant bien fort que quelqu’un tenait à elle ? Ou pour faire comprendre quelques choses d’autre. Pour le dragon chaque petite vie était d’une importance capitale à part la sienne. Aller chercher à savoir pourquoi il pensait cela. Bref, quand elle se retourna, il la voyait d’une façon très spéciale. Il voyait une jeune femme des plus magnifique. Après cela, il l’écouta parler tranquillement s’en rien faire du tout. Jusqu’au moment ou elle lui fit signe qu’il devait retourner de l’autre côté du bar, donc sans chercher plus loin, il le fit. Il partit en marchant doucement, pour finalement retourner s’asseoir sur son siège de base. Quand il s’assit, il posa un bras sur le comptoir et posa son autre main sur l’un de ses genoux. Une fois cela fait, il fixait du regard très sagement la serveuse. D’ailleurs, il pouvait l’écouter prendre de nouveau la parole, cette fois il avait le droit à une partie de la vie de cette charmante demoiselle.

Ryu l’écouta du début à la fin, sans l’interrompre. Il pouvait comprendre que son premier voyage qui fut pour le moment le dernier était des plus tragiques. Car c’était le moment ou elle du quitter sa maison pour aller cher son oncle, car son village fut ravager et il comprit aussi que sa famille fut probablement tuer également. Cela surprit un peu le jeune chevalier, car c’était un peu ironique dans la manière du fait que le shinigami avait connu une chose aussi tragique, mais que les conséquences furent inverser. Oui, mais pour faire comprendre cela, il allait prendre la parole. Il voulait lui expliquer une chose, le fait qu’elle ne soit pas seule à connaître des trucs aussi tristes, mais aussi pourquoi il à un caractère pareil malgré son vaincu. Il prit donc la parole, un ton très gentil et doux, malgré le fait qu’il perdit totalement son sourire pour un air des plus sérieux.

« Ceci est assez étrange, malgré certain événement tragique comme les tiens, mon cas s’oppose à toi. Au début, enfin aussi loin que mes souvenirs aillent, j’étais un petit voleur qui vivait dans une maison avec pour famille deux amis voleurs que je considérais comme mes frères. Un jour, on est rentrer de cher nous, en pensant avoir fait une bonne action et avoir changer notre manière et surtout après c’être attirer enfin les grâces des autres villageois. Nous avons volé un riche pour donner l’argent au villageois très pauvre, nous sommes rentrer cher nous. Notre maison était en feu, nous voulons à peine l’éteindre que des mercenaires nous sont tomber dessus. Le combat fut rude, mais perdu d’avance, à cause de cela je fus séparer de mes amis. Depuis ce jour je n’ai pas arrêter de voyager en continue, car je ne voulais plus rester dans un lieu fixe pour un grand nombre de raison, comme perdre ma maison une fois de plus, ne pas pouvoir voyager librement à la recherche de mes origines, ne pas voir du pays etc.. »

Après cela, il lâcha un bref soupire comme de désespoir, cela fut très bref, car il allait reprendre très rapidement la parole de la même façon qu’avant. Il souffla un bon coup comme pour reprendre sa respiration, mais le plus bizarre était qu’il fixait en continue Cassiopée. A croire qu’il avait un vrai faible pour elle. Bref il finit donc part lui dire ceci :

« Depuis que je suis dans ce monde, malgré le fait que je voyage, que les gens agissent bien envers moi, m’attriste un peu. A vrai dire je voudrais bien rentrer un jour cher moi, revoir tous mes amis et mon monde. Je vais te dire une chose, peu importe ce que tu choisis, personne n’est à l’abri du danger. Que sa soit en reste cher soit, en parte à l’aventure cela ne change rien. »

Avant de se taire complètement, il reprit encore une fois sa respiration en marquent une courte pause. Pour finalement reprendre la parole de la même manière habituelle tout en ne quittant jamais du regard la demoiselle.

« Tu sais, mon village natal à lui aussi était détruit part ce que mon peuple considère être le mal, généralement le mal n’est pas forcément celui que l’on croit ou que l’on dit. Aussi sache juste que quand on part à l’aventure, cela peut-être pour plusieurs raisons différentes. Sauvé quelqu’un, retrouver quelques choses, avoir des réponses à une question, avoir envie de risquer sa vie, voir du monde, part obligation, oublié le passer ou même par soif de sensation. »