Premières impressions [pv]

- Pourquoi tu l’as tué ?
- Elle à failli dire les choses qui c’étaient passé à l’école.
- Et que c’était-il passé ?
- Rien …

Torey était enseignante, mais pas n’importe laquelle. Elle avait était désignée pour diriger ce qu’on appelle affectueusement « la classe poubelle ». Avec elle, plusieurs gamins faisaient partie de cette classe. Il y avait Peter, petit noir costaud dont l’ossature démontrait parfaitement les dégradations de son état neurologique.C’était un enfant colérique et violent, dont les réactions étaient totalement incontrôlable. Le suivant était Blanche, elle avait également 8 ans, et elle avait tenté à deux reprises de se suicider. La dernière fois, le litre de vidange qu’elle avait bu lu avait brûlé un morceau d’oesophage, et depuis elle avait une sonde dans la gorge. Les deux suivants étaient Max et Freddie, deux autistiques, dont les réactions étaient totalement imprévisisbles. Puis vint Guillermo, petit garçon farouche mais pas indomptable, mais qui était également aveugle. Et enfin Sarah, gamine de 7 ans victime de violence physique et sexuelle.Elle ne se doutait pas une seconde que sa classe de petits fous allés compter un autre cas, plus grave et dangereux. Ce cas, il fut amené au deuxième trimestre. C’était une petite fille atteinte de la schizophrénie, et le directeur expliqua que c’était elle qui avait mis le feu a un petit garçon de deux, et qu’on devait la plaçait ici en attendant une place a l’hôpital psychiatrique. A son arrivé, elle alla de suite s’asseoir et ne rouvrit plus la bouche de la matinée. Puis vint le midi, c’était la pause déjeuner. Pendant que l’institutrice et ses collègues mangeaient tranquillement, Un cri déchirant vint troublé le silence. Torey, car c’était son nom, reconnut de suite de qui venait le cri. Aucun gamin normal avait cette voix aigue et stridente. Survint en pleurs Blanche, où elle essayer de raconter ce qu’il c’était passé, et Torey comprit qu’il était questions d’yeux et de la nouvelle. En se précipitant dans sa salle de classe, elle découvrit une scène de massacre. Alice était là, debout sur une chaise près de l’aquarium, et elle semblait avoir attraper un à un tous les poissons rouges et avait arracher leurs yeux avec un stylo. Guillermo était caché sous la table et il appelait sa mère en espagnol, Max et Freddie couraient en tous sens et Freddie écrasa un des poissons aux orbites vides au passage, tendis que Blanche, Sarah et Peter c’était recroquevillé dans un coin et pleuraient à chaudes larmes, comme pour soutenir leur malheur. Prise d’une soudaine panique, Torey ordonna d’un ton ferme mais plein de panique :

- Alice, lâche immédiatement ça !

Mais une chose étrange se produit. Alice pencha légèrement la tête, fit un magnifique sourire, ferma légèrement les yeux et ajouta d’un rempli de gaîté :

- Mais pourquoi je devrais arrêter ?

Ce fut trop pour l’enseignante. Alors, elle couru vers le petit être devenu incontrôlable, mais l’enfant, voyant que l’adulte ne se pliait pas à ses règles, enfonça d’une violence inouïe le stylo dans la main de Torey, qui tentait à ce moment-là de la désarmer. Un tout petit rictus effleura son visage. Pour elle, c’était tellement distrayant et amusant qu’elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Mais le reste se passa très vite. Une gifle vint frapper son petit visage d’ange. Alice toucha délicatement sa joue toute rouge, et poussa un petit cri rauque étouffé. Puis le directeur lui prit fermement le poignet et l’emmena dans son bureau. Ce fut trop, et Alice oublia ce qui c’était passé le reste de cette journée. Apparemment, le directeur l’avait « un peu corrigé », mais l’enfant avait plusieurs coups au niveau de tout le corps. Ils allaient le payaient très cher.

« Haa! »

Alice venait de se réveiller dans un tas de feuilles mortes en pleine forêt. Dans son brusque réveille, elle c’était relevé et avait tendu la main devant elle. La jeune fille venait de se souvenir de ce qu’elle avait lu ce jour là. Elle avait volé à son institutrice une sorte de journal sur sa classe, et elle avait dédié la page du 3 mai uniquement à Alice. Bien sûr, celle-ci l’avait lu, et c’est à ce moment qu’elle comprit qu’elle était différente. C’était la raison pour laquelle elle entendait des voix que seule elle pouvait écouté. C’était peut être aussi la cause de sa seconde personnalité ? Non, ce dédoublement en quelques sortes était du a elle seul. Elle n'avait pas de double personnalité, mais elle s'emporter parfois pour pas grand chose, lorsqu'elle était a l'hôpital psychiatrique. Elle se souvenu en quelques secondes tous les horribles moments qu’ils lui avaient faits subir, mais elle préfère oublier tous ça. Alice regarda autour d’elle. Elle était arrivée en pleine forêt. Où était elle ? Que c’était il passait ? Pour savoir, il fallait remonter loin, à l'époque où elle avait était admise a l'hôpital psychiatrique, juste apèrs qu'elle eu empalé sa maitresse. Heureusement, l’hôpital psychiatrique avait enfin une place pour elle. Là-bas, elle fut obligé de côtoyer des personnes qu’elle détestaient le plus au monde : les fous. Sa rage grandissait de jours en jours. Là-bas, elle commença à comprendre quelque chose qu’aucun enfant de l’hôpital ne comprit : Ils n’étaient pas des patients, mais des cobayes. Les médecins écrivaient de nombreux paragraphes sur leurs réactions face à certaines situations déroutantes. Très vite, Alice ne prit désormais plus le temps de réfléchir : elle détruisait tout à chaque fois que l’on lui adresser la parole ou qu’on la regarder. Des milliers de dollars furent réduits à néant par cette gamine. Puis un jour, les places de l’hôpital étaient de plus en plus convoitaient, et il fallait enlever certains pensionnaires pour pouvoir en recaser d’autres.C’est comme cela qu’Alice devint vraiment cobaye. Il semblait, visiblement, que la jeune fille avait un comportement démoniaque en plus d’une schizophrénie. Pour les scientifiques, c’était peut être un virus d’un nouveau genre. Enfermé dans une coque transparente, des dizaines de prises de sang ou d’injections devait être faits chaque jour. Mais c’est bien trop pour une gamine d’a peine neuf ans, alors comme on pouvait si attendre, le cœur de la petite fille lâcha. Sa dernière pensée fut pour les personnes qui l’avaient giflés à l’école, tous l’hôpital psychiatrique et le laboratoire sur les nouveaux virus où elle était. Son péché se résumé dans un seul mot : la vengeance. En enfer, les démons furent bien surpris par cette jeune visiteuse, qui devait choisir entre plusieurs crime : L’avarice, la stupidité, la cruauté, la laideur, la luxure, l’indifférence, le rejet, l’instabilité et enfin le matérialisme. Toujours attiré par la violence, Alice choisit la cruauté. Démon d’une puissance rare, elle fut baptisée Asmodée, mais elle avait tout de même un jeune âge pour un démon. Toutefois, depuis l’enfer, elle réserva une mort lente et douloureuse pour toutes les personnes qui selon elle devaient être puni.C'est-à-dire les personnes qui l’avaient giflés à l’école, tous l’hôpital psychiatrique ainsi que les scientifiques qui l’avaient approchés. Et c’est à ce moment qu’une connaissance à elle apparut. Blanche ? Oui dirait-on, et elle est devenue un démon de l’instabilité, et semblait nourrir une haine féroce envers Alice. Pourquoi était-elle morte, ça, c’était encore une autre histoire. La vérité, c’est que lorsque Alice avait était transféré à l’hôpital psychiatrique, Blanche avait aussi était admise. Vu que les deux petites se connaissaient, les médecins pensèrent qu’il était bon qu’elle partage la même chambre. De peur, Blanche avait tenté de dire aux infirmières qu’Alice était dangereuse, comment elle avait sauvagement empalé sa maîtresse et arraché les yeux des orbites de poissons rouges. Pour ne pas trop ébruiter tout cela, Alice avait égorgé sa camarade, et Blanche mourut dans d’atroces souffrances. Mais revenons à notre histoire. De son minois angélique, son petit sourire sincère et ses yeux mit clos, elle déclara en penchant la tête :

- C’est là que tu as atterrit ? Je suis comblé, tu ne méritais pas mieux !

Blanche, prit d’une colère sans limite, demanda au démon suprême de bannir Asmodée des enfers. Satan accepta, mais en enfer, rien n’est gratuit, et bannir quelqu’un des enfers ne c’était jamais vu. Alors il envoya Alice simplement autre part, et visiblement, il avait choisit cette forêt déserte. Mais en équivalence, il avait condamné Blanche à la réincarnation éternelle dans le corps d’Alice. C’est pour cette raison que lorsque elle arriva dans l’univers powa, elle avait à nouveau regagnait sa maladie, puisqu’elle était mortelle, et en prime l’âme du démon de l’instabilité. Mais revenons à notre histoire. Alice venait de se réveillait en transe d’un rêve qui c’était vraiment produit il y a longtemps. Asmod2e se redressa, et sous son poids, le tas de feuille morte sur lequel elle était fit entendre un léger craquement. Puis après ce léger son, un autre petit bruit se fit entendre. Qu’était-ce ? C’était un bruit de pas, et Alice était persuadé que quelqu’un était à quelques mètres d’elle. Alors elle grimpa à l’arbre le plus proche avec l’agilité d’un signe et lorsqu’elle arriva sur une branche, elle distingua une silhouette au sol.

Un ange ?

**Oui, c’était ta vie, … ton destin, … ton Bonheur**

Un démon ?

**En effet, c’était ton pécher, … ta condamnation, … ton Malheur**

Ce n’était pas les questions que Sai se posait au fond de lui. Un démon voué à son échec, qui ne désirait rien d’autre que la solitude au plus profond de ses âmes. Son histoire ?? Voulez-vous le connaître ? … ça ne sera pas long :

On pourrait croire, que le démon est une personne méprisable, puante, et sombre. Doit-on vraiment s’y fié à l’apparence. Pourquoi tant de monde brisent-elles de tel rencontre, simplement parceque l’apparence ne leur est pas convenable ? Comme le dit Sai : « Chaque rencontre est importante : car c’est le début d’une rencontre qui nous lis à un fil vers la mort ». En effet Sai est née de deux Anges dont leur père était un dieu issu de la noblesse et de la loyauté. On leurs apprenait ce qu’était le mensonge, la vérité, la traitrise et surtout ce que pouvait être l’inceste : Un amour dévoué à un être fraternel… son premier pêché. Son père, dieu de la luxure le condamna à la vie mortelle pour toute sa vie. Après avoir régner seul sur terre le jeune homme fit un pacte démoniaque qui l’exila à être un démon toute sa vie.

Son âme échanger l’avait transformé à tous ce qu’il craignait d’être. Mais après des années d’erreurs il apprit que son frère avait connu le même destin. Une rencontre puis un changement. Les sentiments qu’il pouvait éprouver il y a tant d’années, avaient-elles vraiment changé ? Pendant chaque jours, le démon avait par ses soin profité de chaque rencontre qu’il à faite. Chacune d’elles l’ont ramené à ce qu’il est maintenant. Il était passé par plusieurs étapes qu’il ne peut oublier.

Revenons à notre histoire : Après un long sommeil dans un endroit désert, le démon se réveilla lentement posant son regard dans tous les coins. Des montagnes de piques… pour lui c’était bien trop rudes. Il fallait le dire : le démon est quelqu’un qui apprécie le changement et Rester trop longtemps dans un même endroit ce dit pour lui « trop fatiguant ». Il est bien important de choisir son endroit afin d’être à l’aise. Pourquoi ne pas allé à l’instant dans le premier qu’avais marqué son destin ? Ici, ce n’était pas les seuls endroits peuplés de roches immenses… Sai en connaissait des centaines et n’hésita pas à rendre visite à ses grands voisins de la nature. Dévorants les lieux divers il arriva enfin de bonne heure à son endroit préféré : Non pas les montagnes, mais la Montagne.

Le savais-tu ? Trop de gens se trompe fortement sur ce que sont « les montagnes ». Pourquoi « Les » ? Si on regardait plus loin et qu’on se plaçait plus haut, avant de naître, ce qui était bas et qu’on nommait la terre autrefois, est devenu haut et gros : les montagnes. Et pourtant, disait-on, « les Terres » ?? Ou plutôt « la Terre » ? Pourquoi transformer un seul mot en plusieurs termes. Simplement parceque comme le dit toujours Sai : L’homme à besoin de réfléchir. Pour eux, la terre à fait naître ses enfants devenus grand. Est-ce vraiment une réflexion ?? Je dirais plutôt de la débilité extrême.

Dans cette endroit sublime et en hauteur, le vent était prêt et souffler fort. Les feuillages des arbres n’hésitaient pas à distraire notre démon qui ne s’en privait pas. Il en prit une dans ses mains, la contempla puis la relâcha. Il venait ici de privé à cette feuille une minute de vie. Pourquoi tant de mal ? Ce n’était pas son but… il voulait simplement se distraire de ce que la nature pouvait lui offrir. Cependant en observant la feuille, il pouvait voir une forêt non loin d’ici … tient ? Pourquoi ne pas y jeter un coup d’œil ? Le démon dévala alors les roches à l’aide de ses ailes noires et grandes. Arrivé en bas il pouvait apercevoir des arbres verts et dresser les unes que les autres. Il se posa alors devant un grand arbre qui le marqua cependant, un bruit vint l’interpeler. Le démon se retourna rapidement, mais rien…. Voilà quelque chose de bien étrange.

Ses yeux noirs contemplaient alors chaque recoin et en effet il pouvait voir une présence non loin d’ici juste derrière lui. Un petit sourire innocent et doux s’afficha alors sur les lèvres de notre jeune démon. Pour lui c’était sans doute un pauvre animal essayant de chercher de la compagnie, qui sait ??.... personne ne peux le savoir !

Spoiler:

Quand elle vit que l’ombre était un jeune homme, et fronça un peu les sourcils pour mieux l’apercevoir. Il se baladait, là, seul, avec un air absent. Enfin pour elle, le jeune démon avait l’air solitaire et un peu égaré.
D’un coup, il s’arrêta, comme si il avait senti sa présence. Alice recula un peu la tête, elle ne bougeait plus. Hormis le fait qu’elle avait fait légèrement craquée les feuilles lorsqu’elle c’était levée, elle n’avait fait aucun bruit, ou du moins le croyait-elle.

D’un coup, plusieurs questions se bousculèrent dans sa tête. Comment cet homme avait-il fait pour savoir sa présence ? Elle avait un peu peur. Dans sa vie, autrement dit, lorsque qu’elle était vraiment vivante, elle n’avait jamais vue quelqu’un capable de la contrôler.
Mais elle sut que ce jour n’allait pas tarder à arriver. Pour le moment, elle préféra rester discrète. Puis quelques minutes passèrent, et l’impatience enfantine d’Alice surgit. Elle allait craquer. Pourquoi se cacher alors qu’il n’y avait, semblait-il, pas de danger ?
Mais une chose inattendue se produit. Une épaisse liasse de billet tomba à terre, puis deux … Alice devint toute blanche. Voir son argent durement obtenue tomber comme des vulgaires fruits mûrs l’insupportait.
Si le démon avait vu la scène, il devait se dire qu’il pleuvait de l’argent. De peur que l’inconnu ramasse son butin, elle sauta a terre et ramassa ses deux liasses. Elle devint soudainement toute rouge et elle poussa un soupir de bonheur. C’est comme si on pouvait l’entendre dire
« je t’ai retrouvé petit coquin ♥ ».

Puis, elle se rendit compte qu’elle était maintenant à terre. Tellement attiré par l’argent qui était tombé sur le sol même, Alice venait de réaliser qu’elle était d’une telle cupidité et d’une telle avarice qu’elle avait sauté de sa branche sans même sans rendre compte.
Puis elle se retourna et vit le jeune démon. Elle serra les mâchoires, visiblement gêné, et dit :

- Qu’y a-t-il ?

Spoiler:

Sai le dos tourné pouvait entendre un petit bruit surgir non loin derrière lui… comme si quelque chose venait d’y tomber. Surpris par se son sourd, le démon se retourna alors lentement jusqu’à voir un …. Un être bizarre. Serait-ce un mi-animal et mi-homme ? Le démon pouvait alors voir qu’elle tenait entre ses doits une petite somme d’argent qui ne la ramènera pas très loin ! Il ne souriait pas, mais resta muet. Il ne savait pas pourquoi, mais cette jeune fille avec le regard d’un chat sauvage semblait perdu et chercher un endroit égaré peut-être pour échapper à son ancien maître…. Où justement retrouver celui-ci !
Comment pouvons-nous prévoir ce qui ce passait dans sa tête ? Justement rien du tout ! Tous ce que le démon pouvait penser, n’était que pur supposition. Lentement il s’approcha et pouvait entendre de sa vois féline un son sortir entre ses lèvres. D’abord surpris, puis content Sai répondit l’air serein :

- Rien…..

Voilà une belle façon de dire bonjours. Sa petite taille entraîna Sai à s’accroupir un peu, puis lui caresser la tête de façon amicale afin de prononcer ses mots…. Des mots qu’il n’aurait sans doute pas du dire, non ?

- Tu es perdu ?

Voilà bien longtemps que Sai n’avait pu caresser de chats, et voilà bien longtemps qu’il n’avait pu faire de telle rencontre…. Pourquoi était-il si serein et gentil ?.... Non le démon n’était pas gentil, mais il est vrai que son comportement n’était pas normal. Phénix, savait au fond de lui d’où se manifester cette air amical, cependant il faisait en sorte de ne rien savoir et continua sa caresse. Il aurait tant voulu tout oublié de lui…. Ne pas être le seul à souffrir.
Asser penser…. Sai retira ça main puis continua d’observer ce qui était en face de lui. Une jeune fille assez mignonne et sauvage. Il décida alors de se présenter avant de se relevez :

- Bonjour, je suis Sai Phénix, et toi ? Quel est ton nom ?

Le démon voulait le connaître, car il serait important pour la suite. Sai pouvait observé les lieux… une forêt ? Il était bizarre de voir un homme ici, si ce n’était que pour chasser…. Ou se cacher… non ?

Spoiler:

Le dos tourné a l’inconnu d’abord, Alice se retourna après avoir ramassé son butin. Elle vit un jeune homme, assez grand par rapport à elle, plutôt mignon avec de fins cheveux blancs. Les premières paroles d’Alice n’étaient pas très gracieuses envers Sai, mais celui-ci lui répondit avec un calme et un neutre exemplaire, ce qui déboussolât un peu Alice. En tant ordinaire, on lui aurait répondu « hé toi cause meilleur », mais pas le démon.
Puis, il s’approcha d’elle, et commença à lui caresser la tête. Ce n’était pas désagréable, non, mais étrange. Alice savait parfaitement que quelques fois, elle ne se maîtriser plus. L’avait-elle déjà rencontré ? Etait pour cette raison qu’il était si familier et doux avec elle ? Ou bien était-ce mal intentionné ?
Toutes ces questions étaient confuses dans sa tête. Mais quand elle entendu l’inconnu demander si celle-ci était perdu, elle su que c’était sincère, et pas par mauvaise intention. D’abord, elle rougit un peu, sans s’en apercevoir, puis elle lui répondit tout en baissant les yeux :

-Je ne sais pas. Peut être.

Puis, elle releva un peu la tête et elle vit le jeune démon. Il semblait perdu dans ses penser, et il regardait dans le vide. Il semblait regretter son passer, sa vie et peut être même son existence.
Ces cheveux retombaient gracieusement sur son visage, cachant légèrement ses yeux. Sai semblait comparé Alice à un chat, et il avait raison. Si elle peut être très affectueuse avec ceux qu’elle aime, elle évite soigneusement les inconnus.
Il restait là, à caresser son cuir chevelu d’une main souple. Puis il arrêta et la regarda quelques secondes, puis il se releva et se présenta. Alice fit de même.

- Oui, bonjour. Je me nomme Alice. Mais c'est peut être vous qui êtes perdu non ?

Alice désirait également connaître ce bel inconnu. Peut être allait-elle enfin avoir un ami et peut même plus, qui sait ?
Elle n’avait jamais eu quelqu’un à qui parler, tous le monde l’insulter toujours de folle. Bref, elle voulait en savoir plus sur cet homme qui s’adressait à elle comme à son égal. Alice était du genre a se rabaissait sans cesse.
Pour elle, la violence est comme une sorte d’éducation, et la douleur l’enseignait parfaitement bien. Pour certain, elle était maso, mais elle refusait de se l'avouer. Enfin passons, Alice voulait également savoir pourquoi Sai était lui aussi dans les bois.

Sai qui était entrain de caresser le jeune animal pouvait la voir rougir après l’avoir questionné. Le démon fut surpris par cette petite réaction. Ce n’était pas marrant, mais plutôt déstabilisant pour elle. Phénix pouvait s’en apercevoir et afin de ne pas lui mettre plus la pression il décida de se reculer d’un petit pas et de lui sourire. Après ce qui lui est arrivé, le démon voulait quelqu’un. Il voulait changer son futur, et ne pas tout recommencer…. Il voulait surtout oublier à quel point il pouvait compte sur lui !

Le démon avait beaucoup changé il y a quelque mois depuis l’apparition de son frère. Le voilà devenue plus serein et impossible à percevoir le moindre de ses gestes ou de ses sentiments…. Normal, si l’on vous apprenait qu’un être de foi que vous croyez mort depuis bien longtemps était en faite en vie et aussi à votre recherche, comme réagiriez vous ?? Après un moment, la jeune fille se présenta et Sai la regardait…. Voilà une belle façon de posé les choses. Cependant, il se trouvait bien trop grand pour la parler calmement et directement. Il se mit encore une fois à genou…. Alors comme ça la jeune fille se prénommait Alice ? Qu’elle jolie prénom innocent. Mais ce n’était pas qui surprit le démon, non ! C’était la suite de sa phrase.
Sai, fit alors un sourire et répliqua :

- Non, je cherchais juste de la compagnie….

Le démon regarda autour de lui voir s’il n’y avait pas une place dans lequel il pourrait s’y installer ! Puis il pouvait voir un endroit assez vide ou il alla s’y installer et s’y asseoir. Non loin d’où était Alice. Il pouvait voir ses orseilles noires accrocher sur sa tête. Cette formes démangeait le démon qui voulait les toucher. Puis aussi connaître son histoire. Il dit de nouveau :

- Viens… je ne vais pas te faire de mal !!

Il attendait que la jeune fille se rapproche pour ensuite ajouter :

- Je voudrais connaître ton passé…. Est-ce dérangeant ?

Quand Alice se présenta, Elle remarqua que Sai c’était mis a genou pour lui parler. Elle n’était peut être pas si grande, mais c’était visiblement mieux pour le jeune de parler dans cette position. Puis, après sa petite question elle vit Sai sourire légèrement.
Il cherchait de la compagnie. Alice connaissait ce que voulait dire « chercher » et « compagnie » mais elle n’avait jamais eu le besoin d’être dépendante de quelqu’un.
Elle ne voulait pas trop s’attarder sur le sujet, mais elle réfléchie tout de même quelques instants. Si on cherche de la compagnie, est ce que cela signifie qu’on recherche des amis potentiels ?
Pour elle, c’était un peu comme avoir besoin d’un animal, de ne pas se sentir seul, c’est un peu inexplicable.
Elle voulait demander à Sai si elle était de la « compagnie », mais à son grand étonnement il s’assit a coté d’elle, dans un tas de feuille morte, au pied d’un arbre.
Quand il lui dit de s’approcher et qu’il n’allait pas lui faire de mal, Alice fut immanquablement attiré par le personnage. Jamais personne ne lui avait proposé une place prés de lui-même, alors elle n’allait certainement pas demander son reste.
Elle s’assit juste a côté de Sai, et elle plia les jambes devant elle, en entourant des jambes de ses bras. De nouveau elle voulut dire quelques choses, mais rien ne sortit de sa bouche.
Elle ne savait plus quoi dire, ni quoi faire. A vrai dire, ça l’arrangeait que celui-ci lui pose une question. En lui demandant son passé.
Elle hésita l’espace d’une seconde. Que dire, sinon la vérité ? Les yeux dans le vide, elle déclara :

- Je ne crois pas...Que sa me dérangerais. Il y a longtemps, je tue une fille de mon âge à l'hôpital psychiatrique, parce qu'elle est dans la même chambre que moi et elle veux dire aux médecins les choses qui c'étaient vraiment passé dans mon école, car elle veux changée de chambre, elle a peur de moi. Alors pour pas que cela s'ébruite, je l'egorge. Puis on me change d'établissement, et je meurt, car il ma fait trop mal, mon corps à laché.

Alice parlais bizarrement, c’était peut être du à son manque d’éducation, mais également du à sa mémoire trouble.
Elle n'employait quasiment jamais le passé, mais conjuguer parfaitement le présent et le futur. Sinon, que voulait-elle dire par mal ? Certains imagineront le vio, et d'autre la violence, mais il ne sagit d'aucun des deux. Si on lui demandait ce que c'était, elle répondait simplement : il m'as fait la piqure Traumatisé pour toujours par les seringues, la dernière qui lui avait transperçait la peau lui avait également ôté la vie Depuis, elle ne supporte plus qu'on lui fasse des prises de sang ou même des injections. Elle sembla revenir sur terre, elle souria et elle demanda :

- Moi aussi j'aimerais beaucoup connaître votre histoire.

[Je suis désolée, c’est court, mais j'ai vraiment pas beaucoup de temps.]

Après avoir demandé à Alice de s’asseoir à côté, le démon pouvait la voir exauçant son souhait. Cependant quelque chose le dérangea. Pourquoi était-elle si crispé ? Je geste lui fit alors sourire et il dit en posant un main sur les oreille de la jeune fille :

- Ne soit pas si tendu je ne vais pas te manger ^^

En effet, Sai n’en avait pas l’intention. La seule personne qu’il voulait bouffer, ce n’était pas elle mais quelqu’un d’autre… Cependant le voilà autre part pendant qu’Alice racontait son passer. La gentillesse du démon n’allait pas tardé à partir…. Il vaudrait mieux qu’il évite de penser à des mauvais moments. Sa ne fait qu’accéléré le phénomène. Enfin, il avait tout de même pu écouter ce que la jeune fille racontait….

Voilà quelque chose de très intéressant. Un moment, Sai se demandais vraiment pourquoi elle parlais si bizarrement, mais malgré ça il avait tout compris. Enfin, ce n’était pas quelque chose de si grave… enfin, pour le démon. Comparé à la jeune fille, lui était conscient de ce qu’il faisait et n’avait aucune pitié… enfin il n’en à toujours pas c’est sûr. Mais afin de ne pas laisser trop de blanc il répondit :

- Je pense que c’est la faute aux autres qui ne savent pas se défendre…. Et je pense aussi, que tu devrais rester auprès des gens qui sont fort et savent t’arrêter comme ils le devront

Sur ceux, Sai pouvait se rappeler de ce qu’elle venait dire…. Elle avait parlé d’un homme qui la faisait mal. Mais mal … de quel manière ? Être battu ou Violé ?? Ses deux termes sont très différent ou opposer. Si il s’agit de violence, Phénix ne comprendrais pas pourquoi Alice tuerait, car dans ce monde il n’y a que ça, mais s’il s’agit de viole, en effet, l’homme aurait pu réveiller le monstre en elle… Ne l’oublions pas, nous avons tous un bon et mauvais côté. Sai le savait et il en était témoin. Enfin… C’était à son tour de raconter son passer… Malgré ça il n’avait pas du tout envie de le raconter. Cela risquerait de faire fuir la jeune fille. Mais il pouvait raconter les moins importants :

- Moi…. Je n’ai pas vraiment de passer. Et puis te le raconter sera trop long. Je peux juste te dire que je suis reconnu en temps que démon immonde et méchant….

C’est vrai ça…. Mais pourquoi cette gentillesse ? hihihihihi ….. **rire sadique de l’auteur** Enfaite, pour ceux ignorant toute l’histoire, Sai n’était pas du tout gentil. Il se forçait à l’être simplement et pour l’unique raison, d’une seul BUT qu’il atteindra quoi qu’il arrive. (Non Alice, pas d’inquiétude, sa ne te concerne pas et Sai ne va pas de bouffer XD) Voilà le démon garda le silence.

Alors qu’elle hésité encore à prendre place prés de lui, Asmodée se mordit la lèvre inférieur et serra les poings. Pour elle c’était vraiment étrange ce qui ce passait.
Toujours rejetée par la société à cause de ses différents, autrement dit sa maladie incurable et sa démence, elle était mal à l’aide dans ce genre de situation. Et c’est là qu’elle conta son passé. Visiblement, l’histoire d’Alice venait de faire réfléchir Sai.
Alice pensa qu’elle aurait peut être du éviter de lui dire. Mais cette envie de confession, d’avoir toujours à tout garder pour soit même, c’était trop, il fallait qu’elle décharge ne serait-ce qu’un peu son fardeau.
D’ailleurs, si le jeune démon serait parti à cause de son histoire, c’est qu’il n’en valait certainement pas la peine. Mais il resta, pour le plus grand bonheur d’Alice. A vrai dire, elle avait vraiment hâte d’entendre ce que lui avait vécu.
Mais avant de répondre à sa question, le démon lui dit simplement que c’était la faute des autres si ils ne savaient pas se défendre. Il avait raison, mais dans un autre sens, il avait tors. Pourquoi ? Car si les pauvres poissons au yeux exorbité, la maîtresse et Blanche était mort dans d’atroce souffrance, c’est uniquement parce qu’il ne savait pas se défendre ?
Non, c’était plutôt qu’il ne pouvait pas. Au moment ou la jeune démone avait empoigné le stylo pour l’enfonçait dans la gorge de sa camarade, qu’est ce que celle-ci aurait pu faire sinon mourir à petit feu ?
Punie de ses actes en allant en enfer, elle était devenue un des démons de la cruauté. A partir de se moment, c’était d’une simplicité enfantine de tuer les gens dans d’atroces souffrances depuis l’enfer. Que pouvait-il faire contre leur destin ?
Hélas, rien. Mais Sai ajouta également qu’elle devait rester auprès des gens ayant le pouvoir ou la force de la contrôler. Mais qui voudrait rester auprès d’une folle ? Déjà que Farakiel, un homme qu’elle avait sévèrement blessé à la jambe alors qu’il venait d’arriver, la traité comme telle…
Mais Asmodée n’éprouvé pas des remords, ni de regret envers ses actes de cruauté. Elle trouvait cela normal, voir banal. Elle n’était pas démon pour rien. Puis, Sai ajouta qu’il n’avait pas vraiment de passer.
Mais Alice n’y croya pas une seconde. Un être comme lui devait forcément en avoir un, et elle en était sûr. Puis il vint contredire sa première phrase en disant qu’il était de toute évidence trop long à raconter. Alice esquissa un petit sourire en coin, à peine visible.
Elle avait vu juste, cet homme n’était pas comme tout les autres. Les paroles qu’il ajouta une troisième fois ne faisait que renforçait son attirance envers Sai.
Un démon immonde et méchant … Un démon du nihilisme ? Puis ? il se plongea dans un long silence. Alice le regarda avec de grands yeux.

« … Donc si tu est un démon immonde et méchant, alors je t’aime beaucoup. »

De son point de vue, Les gros méchants qui détruisent tous sur leurs passages sont des crétins de premières catégories. Ils sont irréfléchis et stupide. Mais les démons qui préfère rester discret, qui sont calme et qui paraisse polie sont les plus dangereux.
Et Alice admire énormément cette classe d’êtres supérieurs. C’est pour cette raison qu’elle essaie de cacher du mieux qu’elle peut son jeu.
Et pour elle, Sai semblait faire partie de ce genres de personnes. Asmodée y croyait de tout son cœur, et cela ne faisait qu’accroître son attirance pour lui. Elle était fascinée par le personnage.